29 mai 2013

Je navigue entre deux eaux

Ma boite à souvenirs...

Ma boite à souvenirs… *

Depuis plusieurs semaines, la nostalgie a fait son apparition dans mon coeur et mon esprit.

Plusieurs raisons à cet état :

la vente de la maison de mes parents qui a eu pour conséquence tout d’abord de me faire replonger dans mes souvenirs laissés chez eux mais aussi de recevoir une fabuleuse surprise de mon père : les vidéos de ma petite enfance en DVD… Je ne les avais tout simplement jamais vu ces films ! Et découvrir mes parents, jeunes, beaux, portant ce bébé (moi hein) avec amour. Les voir rire, partager des moments tendres avec lui (moi donc). Je ne vous raconte pas l’effet de dingue que cela m’a fait. Comme si d’un coup, j’arrêtais de nier ce que je me refuse à voir depuis la naissance de mes enfants : l’Amour, le temps qui passe si vite, ces moments que l’on ne vit peut-être pas assez intensément. Un cocktail de malade. Une bouffée de nostalgie. Multipliée par…

ce deuil du p’tit 3e, encore et toujours (j’en avais déjà parlé ici, en 2011, tiens « bizarrement » avant l’entrée en CP de la puce ! Il rentre en quelle classe le P’tit en septembre ?). Je n’arrive pas à m’y faire. En tout cas, pas tous les jours !!

Toujours cette même foutue ambiguïté. Quand ils sont bébés, on en bave tellement, qu’on a hâte qu’ils deviennent plus autonomes, plus « faciles ». Et quand ils le sont, d’autres problématiques surgissent (« Petit : petits soucis. Grand… ») et on les regarde en se demandant où sont passés nos « bébés ».

Depuis quelques semaines, je navigue entre deux eaux. Entre nostalgie du passé, doute – toujours – sur ma capacité à être une bonne maman et culpabilité – désolée – de n’avoir pas su en profiter plus. Enfin, impression de ne pas en avoir profité. La mémoire me fait sans doute défaut. À moins qu’elle ne joue justement son rôle qui nous permet de regarder plus sereinement vers le futur ?

Et puis à d’autres moments, je me sens sereine. Je me vois dormir en vacances jusqu’à presque 10h pendant que les enfants jouent tranquillement dans leurs chambres sans – trop (je vous rassure) nous déranger. Mais aussi prendre mon temps chez Monop’ pour regarder les nouveautés femmes et enfants, tout en les laissant quelques rayons plus loin, regarder les jouets. Sans risque de caprices et sans peur de ne pas les avoir « sous les yeux ». Et je me dis que c’est cool. De pouvoir partir immédiatement – ou presque – quand on lance le fameux « allez, on y va« . De pouvoir bouquiner le dimanche après-midi. De pouvoir veiller le samedi soir avec eux devant un bon film.

Je tourne, retourne, une page, mon esprit. Tout est confus. Entre nostalgie et plénitude (presque hein faut pas déconner, j’en bave encore). Comme si, à nouveau, je passais un nouveau cap. Suis-je désormais mûre ? En tout cas, je me vois de plus en plus vieillir, penser à demain d’une autre manière. C’est vraiment étrange. D’ailleurs, cela doit se ressentir ici dans ce billet. Je le sens confus, mais il vient ainsi, je le laisserai tel quel. Juste pour que vous sachiez dans quel état je suis, ces derniers temps.

*Dans ma boite à souvenirs il y a : deux doudous, mes coupes et médailles (compétitions de danse sportive et concours d’accordéon), mon gant de baseball et deux balles (une de soft et une de baseball), une porcelaine offerte par ma grand-mère disparue, le portrait de mariage de mes grands-parents, les vidéos de mes premières vacances en « solo », des cartes postales, des lettres, des tickets de concerts… 

classé dans : Etre maman
article précédent article suivant

vous pourriez aussi aimer

38 commentaires

  • Judith
    29 mai 2013 at 08:20

    Ton billet est très touchant et j’espère que le fait de poser par écrit ce que tu ressens, tel que tu le ressens, t’a apaisé.

    La nostalgie est je pense inévitable. Surtout lors de tournants comme ceux que tu vis avec, entre autres, la vente de la maison de tes parents. Mais être nostalgique une bonne chose, quand ça ne vire pas a la déprime et qu’on peut le convertir en quelque chose de positif : cela nous rappelle quels sont les gens importants a nos yeux et toutes les petites choses qui nous ont construites.

    Cela permet aussi de regarder avec plus de recul le présent : voir ce qu’on a atteint, ce qu’on a finalement réussi a construire, comment on en est arrivé la… C’est peut-être le sentiment de plénitude dont tu parles ? Le fait de se dire que le passé c’était bien. Et d’envisager le futur avec confiance.

    Chaque période a ses avantages et ses petits inconvénients, j’essaye toujours d’en profiter en voyant « the big picture » ce qui me permet d’être plus sereine et aussi plus heureuse a l’idée de tout ce qu’il reste a vivre et découvrir.

    Tu as encore bien des choses a vivre avec ceux que tu aimes et bien des souvenirs a écrire avec tes enfants, profite 🙂

    PS : Mon commentaire est un peu fouillis, vraiment pas évident de mettre des mots sur tout ça, j’espère que ça reste compréhensible !

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:25

      ton commentaire n’est pas fouillis et même si, mon billet l’était aussi, il appelait donc des commentaires du même type 😉 Merci, d’ailleurs, ton commentaire me touche beaucoup.

      répondre
  • Madame Moustick
    29 mai 2013 at 08:30

    Je te comprends parfaitement : je navigue entre ces mêmes deux eaux du petit troisième avec des enfants qui le demandent (enfin le grand ne veut qu’une petite soeur parce que les petits frères ça suffit), le papa pas chaud du tout (rédhibitoire) et moi dont le coeur balance … Réussir à tourner la page sereinement : un beau challenge !

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:26

      les miens ici ne demandent pas par contre 😀

      répondre
  • keju
    29 mai 2013 at 08:40

    Ton billet m’a beaucoup émue. Sans doute parce que je suis (toujours et encore) en train de faire mon deuil du 3 ème pour les mêmes raisons que toi ou presque mais mon deuxième va en GS l’année prochaine et mon aîné en 6 ème et je t’avoue que je ne m’en remets pas, je réalise pas (ou veux pas). Je me dis que non maintenant on commence à profiter comme tu l’écris si bien à une certaine liberté mais c’est vrai que c’est pas facile…

    Je trouve juste fabuleux le cadeau que t’as fait ton papa, vraiment, c’est merveilleux <3

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:27

      la 6e : OMG 😮 Merci pour ton commentaire, il me touche beaucoup également. :angel:

      répondre
  • MumetMomes
    29 mai 2013 at 08:42

    J’ai l’impression d’être ta jumelle à la lecture de ce billet !!! En plus de la vente de ma maison d’enfance, je me pose les mêmes questions et comme toi je suis parfois nostalgique de mes enfants bébés alors qu’à l’époque j’étais crevée et pressée qu’elles grandissent pour être cool. Maintenant que je suis plus cool, que le quotidien est plus facile, qu’on peut faire tout comme avant, je n’arrive pas à fermer complètement la porte à un ptit 3ème alors que l’envie n’est pas complètement au rendez-vous. J’ai plusieurs amies qui ont sauté le pas. Moi je ne sais pas, trop de choses rentrent en compte. Pas facile de savoir ce qu’on veut mais si cela peut te réconforter on est nombreuses à avoir ces pensées !
    Biz

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:31

      à lire les commentaires, je crois que nous sommes beaucoup en effet à traverser cette période nostalgique bourrée de sentiments ambigus et quelque peu perturbants…

      répondre
  • danslapeaudunefille
    29 mai 2013 at 08:55

    Remuer le passer fait toujours réfléchir ! Bisous ps : concours d’accordéon méga lol

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:33

      ba ouais, méga lol (8 ans de ma vie tout de même)

      répondre
  • isa-monblogdemaman
    29 mai 2013 at 09:10

    Je suis un peu dans le même état d’esprit surtout que j’ai toujours dit que j’en ferai 3. Mais je me sens trop fatiguée, trop « passée à autre chose ». D’autant que la peur que tout ce bonheur s’arrête me tiraille de plus en plus. Prends ton doudou, donne moi la main. On est bien comme ça non ?

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:33

      calins :angel:

      répondre
  • madamezazaofmars
    29 mai 2013 at 10:04

    Ton article m’a beaucoup émue et je suis moi même toujours empreinte de nostalgie. Enceinte du 3 ème comme aujourd’hui ou pas, je crois que je le serais toujours.
    Allez viens je te fais un gros calin

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:34

      merci, j’adore les calins :angel:

      répondre
  • Lily
    29 mai 2013 at 11:15

    Très joli billet, très touchant qui réveille les mêmes angoisses en moi 😥
    le deuil du petit 3e pas fait du tout et cette ambiguité de vouloir passer à autre chose moi aussi (mon grand rentrera au CE1 et ma puce, en PS en maternelle) de pouvoir ENFIN dormir sans être réveillée, de faire une croix définitive sur les couches, le stresse d’une place en crèche -et pourtant, j’en ai eu une pour mes deux amours sans trop galérer- tout ça… c’est vrai, on a envie de tourner la page et POURTANT… on n’y arrive pas. On est toutes un peu pareilles non ?

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:35

      à priori oui :angel:

      répondre
  • Marine
    29 mai 2013 at 11:18

    Je te comprends… C’est dur, d’être tiraillée entre sérénité et nostalgie…
    Ici on ne fait pas le deuil du petit troiz, parce qu’on n’a pas envie de s’arrêter à deux. En fait chaque enfant en appelle un autre, finalement… C’est la vie qui décide, plus que nous. Et j’aime bien ça.
    Je n’ai jamais eu de nombre d’enfant « idéal » en tête, plus jeune je ne m’imaginais pas avec des enfants… Et finalement on en a fait et on aime ça!
    J’aime bien cette idée de ne pas trop porter seule cette responsabilité du « choix » du nombre d’enfants, ne pas me fermer la porte sur sur nombre cartésien et raisonnable, mais làcher un peu et me donner l’impression que c’est la vie qui décidera plus que moi 🙂
    Bon on n’en fera pas 12 non plus, hein.

    Question peut être indiscrète, je pense qu’on te l’a posée mille fois et tu n’as peut être pas envie d’y répondre, mais quelles sont les raisons de ton choix d’arrêter à deux? Ce choix est il complètement arrêté, assumé à deux, ou te laisses-tu toujours une petite porte de sortie, unepossibilité de changer d’avis? 🙂 ça joue peut être sur ta nostalgie….

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:37

      Je dirai que le choix est arrêté à 90%. Les raisons, on en trouve toujours, elles sont clairement balayables d’un revers de main mais tout de même, elles sont à prendre en compte. Ce sont des freins en fait. Le principal est matériel (financier), le suivant serait plutôt une question de confort (nuit, vacances différentes, etc), l’âge aussi, la peur de bousculer un équilibre. vala vala… merci pour ton commentaire :angel:

      répondre
  • Bao
    29 mai 2013 at 11:26

    Très jolie billet… Emouvant. Je suis dans le même état. On sort progressivement des couches et j’aime me vanter auprès de mes copines qui viennent d’avoir des bébés « ouai, c’est cool, tu verras quand ils peuvent aller aux toilettes tout seuls ».
    Bref, je suis contente d’être passée à autre chose.
    En même temps, ma petite puce à 3 ans et quand je regarde leurs photos d’elle petite, ça me manque terriblement…

    Je suis en train de faire mon deuil du 3ème, pas évident non plus.

    Je crois que je partage totalement ta nostalgie 😛
    Plein de bises et bon courage, ça va passer c’est certain 8)

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:38

      Réconfortant de lire les commentaires de ce billet, on est toutes pareil c’est fou 😡

      répondre
  • Mariana
    29 mai 2013 at 11:39

    Ma petite e-za, ne te sens pas triste, tu profites de tes enfants et tu en prends soin. Ils grandissent, tu en « baves » moins, alors savoure. 😉
    Pour le deuil du 3e : tu le veux peut-être non finalement ? Et ton chéri ? Alors pourquoi faire un deuil de quelque chose que tu pourrais avoir ?
    Moi mon problème c’est pas la nostalgie, c’est la mort des proches qui pour le coup oui me rend nostalgique… :angry: Quelle chance d’avoir des vidéos de ton enfance !

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:54

      ces vidéos sont un trésor, je te le confirme :angel: merci Mariana :kiss:

      répondre
  • FoxyMama
    29 mai 2013 at 13:09

    Le deuil du petit dernier… Je me demande si on le ressens jusqu’à la ménopause ?

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:56

      j’espère pas 😀

      répondre
  • Souloute
    29 mai 2013 at 13:42

    Oui tout pareil aussi ici. Le manque de ne plus avoir de bebe me tire les larmes parfois, je n ai pas le deuil du 3 eme, j e négocie avec monsieur. Mes parents ont aussi déménager avec circonstances aggravantes : sont allés vvre quelques années de retraite dans le pays d origine de ma mère : ile Maurice, donc à l autre bout du monde. Nous allons tous les 4 cet été mais ce ne sera pas possible tous les ans ! Dur de vieillir, car il s agit bien de ça n est ce pas?

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 16:58

      oui, en fait, je crois qu’il s’agit bien de ça. 😮

      répondre
  • clemence
    29 mai 2013 at 13:56

    mince… serais tu moi?

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 17:07

      va savoir 😀

      répondre
  • Catherine
    29 mai 2013 at 15:35

    Ooooooh :kiss: :kiss: :kiss:
    Mais c’est ça, être parents, finalement: regarder à la fois dans le rétroviseur et devant toi (bonjour le strabisme, parfois!), entre douceur des jolis souvenirs, remords de n’avoir pas été « assez » (dois-je remercier la société judéo-chrétienne une fois de plus? Pour toi, pour moi, pour toutes tes lectrices?)… Puis faire le deuil de l’enfantement est un processus qui prend du temps, et qui ne va pas en ligne droite! Une fois c’est cool, une fois c’est dur, une fois c’est partagé… Moi aussi je suis confuse pour te répondre, alors que nous nous apprêtons à couper le robinet définitivement: d’un côté je me sens super sereine car 4, non, c’est vraiment trop pour moi, mais… ben oui, voilà, y a un « mais ». Alors j’essaie de me dire qu’y a un temps pour tout, et que nous allons pouvoir passer à autre chose… N’empêche, parfois je rêve que je suis enceinte et que j’accouche… et au réveil, je déprime. Logique, les nanas??? 😉
    (d’un autre côté avec en plus la vente de ta maison d’enfance, ça en fait déjà pas mal, des pages à tourner, pas étonnant que tu te sentes un peu dans le cirage!) Courage et gros bisous!

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 17:10

      nous logiques ? impossible 😀

      répondre
  • maman est occupée
    29 mai 2013 at 17:09

    C’est drôle, nous nous disions justement que le temps passait drôelement vite hier soir avec Papa est occupé : quand je pense que mon Grand aura bientôt 7 ans !

    répondre
    • e-Zabel
      30 mai 2013 at 17:17

      vala, ici bientôt 6 pour le ptit…

      répondre
      • Caro
        17 mars 2014 at 13:18

        Bonjour Lucie,Merci d’avoir partage9 ces pie8ces avec les ltureces du blogue.c9tant le compositeur et l’interpre8te, je souhaite donner quelques informations supple9mentaires en ce qui concerne cette œuvre. En voici une description telle qu’elle apparaeet dans l’album Airs e0 faire frire du trio Sylvain Picard. Ma passion des arts martiaux chinois et de leurs philosophies m’a amene9 e0 m’inte9resser e0 la langue du peuple chinois, le mandarin. L’Automne du cœur a e9te9 compose9e e0 partir des images e9voque9es par le caracte8re chinois 愁 (chf3u). L’ide9ogramme nommant l’automne, 秌 (qiū), est forme9 par la combinaison des mots ce9re9ales 禾 (he9) et feu 火(huǒ). Lorsque l’on ajoute le cœur 心 (xīn) sous l’automne 秌 (qiū) on obtient 愁 (chf3u) ou l’automne du cœur. N’est-ce pas une de9licieuse image pour de9crire la me9lancolie? Curieux d’en savoir plus? Je vous invite e0 visiter ces pagesAux plaisirs,Sylvain Picard

        répondre
  • Bethanie
    30 mai 2013 at 12:11

    Ton billet est touchant et positif.
    Sentir le vent tourner (d’une certaine manière), être sur le point de franchir une étape, c’est toujours un peu difficile. Cela peut générer, de la nostalgie, de la mélancolie et même un peu d’angoisse.
    Mais c’est bien aussi de se sentir évoluer.
    Je pense aussi que tu prends en compte ton âge, et les difficultés de concevoir et de s’occuper d’un bébé à l’approche de la quarantaine (je me permets de le dire, j’en ai presque 41 !).

    Je me dis toujours que si j’avais vraiment voulu en avoir un 3ème, j’aurais balayé d’un revers de la main tous les arguments contre car, à priori, rien ne s’opposait à son arrivée.

    Mais voilà, ni zom, ni moi n’en avions vraiment envie. Donc, c’est que ça n’était pas fait pour nous. Et quand je vois les tribulations que nous font vivre nos deux gredins, je ne regrette pas notre choix.
    Je pense qu’on se prend une sacrée claque en réalisant qu’on occupe la place de nos parents au même âge, avec peut-être les mêmes doutes, les mêmes hésitations.

    Laisse-toi porter un peu par cette nostalgie pour revivre les souvenirs, ça ne fait pas de mal.

    répondre
  • ratounette
    30 mai 2013 at 13:40

    J’arrive avec du retard, mais je te comprends.. Louise va avoir 9 mois et je me fais à l’idée que je n’en n’aurais pas d’autre… pour moi pas une question de trop dur, de nuits courtes etc.. mais l’age.. le doc dans max 2 ans pour le 3ieme mais Louise sera trop petite, j’ai envie de profiter d’elle jusqu’au bout. J’ai la chance d’en profiter tous les jours et malgré tout je ne vois pas le temps qui passe, hier je couchais un nourrisson et aujourd’hui c’est un bébé qui veut partir à 4 pattes…
    Je voudrais qu’elle reste bébé le plus longtemps possible en fait… on va aller consulter toutes les deux hein.? 😉 bisous madame

    répondre
  • Laurence
    30 mai 2013 at 20:19

    Quand je lis tous les commentaires, beaucoup parlent du deuil du petit 3ème mais est-ce possible de le vivre pour le 2ème ? car en effet je n’ai qu’un petit garçcon qui va bientôt avoir 5 ans et evidemment cette nostalgie du passé et surtout se rendre compte que nos enfant grandissent trop vite est « flippant » !
    mais voilà mon hom et moi sommes d’accord pour s’arreter à un tellement notre premier est super actif et surtout en effet l' »poque des couches-biberons-siestes obligatoires étant passée … mais ça c’est aussi d’avoir commencé à faire des enfants à 30 ans, l’horloge biologique nous pousse à réflechir … si ca peut te rassurer E-za je trouve que 2 enfants est l’idéal, m^me si je reste à 1, ca restera un choix et un souhait commun du couple et c’est ça le principal je pense
    as-tu des freres et soeurs si la question n’est pas indiscréte ?

    répondre
  • sabine
    31 mai 2013 at 22:30

    moi aussi je suis hyper nostalgique en ce moment. Surement parce que Milou va avoir 4 ans et qu’avec trois frères et soeur devant lui il a grandi encore plus vite que les autres.
    Des fois je rêve d’un nouveau bébé. Mais ce ne serait pas raisonnable 😉

    répondre
  • Quand les enfants grandissent trop vite... on a envie d'une pause | e-Zabel, blog maman parisienne
    29 septembre 2014 at 07:00

    […] la nostalgie ne se planque jamais […]

    répondre
  • laisser un commentaire